Lorsqu’elle a quitté le pays de son enfance pour aller vivre dans la grande ville, Doris Savard a traversé des étendues de forêts qui flamboyaient sous la lumière du soleil.
Sous ses yeux se déployaient les couleurs de milliers de bouleaux jaunes, d’érables, de frênes blancs et de quelques rares chênes en livrée d’automne.
Savard a gardé dans sa palette toute cette richesse et cette intensité de coloris.